lundi 2 août 2010

Séléné en Orient ou de la face cachée de la Lune....

Retrouvailles avec C* mon complice...

Plus qu'un amant de passage, le terme de complice me semble le qualifier parfaitement ... "Qui a part au délit ou au crime commis par un autre" nous dit le dictionnaire .... de crime ou de délit, nous n'en avons point commis, si ce n'est à l'encontre de la morale médiocre et des carcans et règles imposés par la majorité sans imagination ni liberté... Rencontré à ce moment de ma vie où les rencontres sans lendemain commençaient à me décevoir, il m'a présenté un monde de libertinage tel que je l'imaginais, le souhaitais, n'osais l'espérer; libertinage des corps, mais aussi des esprits, butinage amoureux et littéraire, curiosité de la chair et de l'esprit... je m'arrête là, il risquerait de devenir orgueilleux... :)

Retour de vacances et retour au Moon City. C* m'y avait déjà entraîné la veille de notre soirée à l'Opéra, pour "nous faire les jambes", et pour moi, goûter aux premiers emois de l'amour pluriel...
Déjeuner et conversation légers au soleil, pétillement dans ses yeux lorsque je lui dévoile au détour d'une phrase que je suis nue sous mes vêtements, plaisir de se sentir désirée... il n'est pas encore blasé, heureusement...

Scènes étranges aujourd'hui :
un couple étrangement assorti d'un cinqua et d'une jeune noire qui semble l'apeller "papa" et qui ont joué les "mdf" en différents lieux, calins à 6 de trois couples de sexagénaires (non, nous n'étions pas au sauna d'une maison de retraite) dans le jacuzzi...

Scènes érotiques aussi :
tendre 69 de retrouvailles - que j'aime sentir la peau si douce de ton gland sur ma langue -
frissonnante levrette, ton sexe en moi, ton doigt entre mes deux 'lunes', dans une pièce miroitante, tout en admirant le beau spectacle d'un duo, puis d'un quatuor se donnant mutuellement du plaisir,
intense plaisir lorsqu'un 2e couple nous rejoint, elle à la blanche croupe imposante, lui virtuose linguiste, qui m'a fait trembler de plaisir pendant qu'il me léchait...
complicité de nos regards, lorsque tu la prend en levrette tout en serrant ma main...


Séléné et Endymion, Ubaldo GANDOLFI, circa 1770

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