jeudi 30 septembre 2010

Préliminaires...

J'ai de la chance... c'est quelque chose que je me répète assez fréquemment, mais qu'il est important d'affirmer, sans peur que cela attire le mauvais oeil... que ce soit dans mes rencontres amicales, professionnelles et libertines, j'ai le plus souvent d'excellentes surprises...

Comme ce soir : en 3 jours, nous avions échangé une trentaine de mails, proposant à chaque fois trois alternatives, du genre "café ou thé"... une façon d'apprendre à se connaître, d'apprendre à se dévoiler aussi, un jeu simple mais efficace, à son initiative... titre des mails 'rendez vous repoussé mais l'attente rend la rencontre plus précieuse encore'

Agréable surprise, lorsqu'il m'emmène dans un coin 'caché' d'un café parisien, où de grands matelas sont posés à terre... nous sommes presque seuls, un autre couple à l'autre bout de la pièce, et pas un serveur à l'horizon...
Agréable aussi notre conversation, sur tout, rien, et son contraire...
Charmants ses yeux qui réussissent à ne pas trop glisser vers mon décolleté....
Étonnante, sa bouche qui se dérobe à la mienne...
Excitants, ses doigts qui caressent ma peau dévoilée, et trouvent petit à petit le chemin de mes tétons...
Énervants, ses yeux qui s'opposent aux miens, avec le même défi au fond d'eux..
Émoustillants, ses mots qui me disent autant que ce regard...
Grisants, ses doigts qui descendent caresser ma culotte...
Agaçants, ses mains toujours sur mes tétons, au point que je dois enlever mon soutien-gorge pour lui laisser plus de liberté de les caresser et de les pincer....
Électrisantes, ses mains qui m'enlèvent aussi ma culotte, tout en continuant de me regarder dans les yeux...
Érotique, son index qui titille mon clitoris, me révélant combien la situation a rendu mon sexe trempé...
Grisante, sa proposition de me photographier lors de notre prochaine rencontre...


Frustrant, le fait de finalement rentrer seule chez moi, sans baiser, sans caresse...
Pour la peine, il ne saura ma décision de le revoir que 24h après notre séparation, jeudi soir, à 23h34...

J'ai quand même de la chance malgré tout, non?

vendredi 24 septembre 2010

(pas si) Brêve

Après-midi tendre, profonde, coquine, bavarde, douce, légère, pluvieuse, secrète...
Je n'ai pas vu le temps passer entre tes bras et tes mots
Chapeau !

mercredi 22 septembre 2010

Exhibition part 2...

Excitation intellectuelle et charnelle dans l'après-midi... désir croissant mais non assouvi...

Dîner en tête à tête dans un bar branché, trop de monde mais ta main trouve tout de même le chemin de mon sexe détrempé...
Indices extérieurs de ce que je porte sur moi - rouge - et en moi - un accessoire de cheveux à la forme suggestive...
Discussion libre et passionnante, comme d'habitude, sur la vie, le sexe, entrecoupée de désirs chuchotés à l'oreille..
Parfum de mon intimité qui se mêlent à l'odeur du café gourmand... notes de cuir, de fleurs capiteuses, parfum de sexe délicieux tu m'avoues...

Ta main sur mes fesses dans le métro, culotte enlevée, tes doigts en moi dans la rame déserte, je t'embrasse à pleine bouche pour éviter que mes soupirs et gémissements ne soient trop bruyants...
Robe relevée sur mes fesses nues dans les couloirs presque déserts, un couple devant nous qui marche s'en s'apercevoir de nos agissements...
Plaquée contre un mur, dans un couloir, à genoux devant moi, ta langue taquine et agile qui s'empare de mon clitoris...

Contre-allée de l'avenue Foch, démarche maladroite, tes doigts toujours plantés en moi, envie de prendre ton sexe en bouche entre deux voitures, que tu me prennes sur le capot d'une de ces voitures de luxe garées ici...
Nos pas s'accélèrent autant que notre envie et notre respiration...
Une main sur la clef, l'autre me fouillant profondément comme tu sais le faire et comme tu sais que j'aime...
A moitié nue dans l'ascenseur, presque baisée sur ton palier...

Ta queue qui heurte et fait vibrer mes boules de geisha avec lesquelles tu joues...
Nos bouches qui excitent nos corps en évoquant nos fantasmes de partages, d'offre, de dîners libertins...
Les miroirs sur tes murs qui reflètent ce sexe qui me pénètre, nos regards égarés, nos corps essoufflés, nos corps échauffés...

Et tous ces moments à la fois violents et tendres, intimes et hurlés, que j'aime tant vivre avec toi...

mardi 21 septembre 2010

Louvre et Libertinage

Beau programme à l'auditorium du Louvre en cette fin de mois de septembre


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© Film d'Alexandre Volkoff


Programme Libertins / Liberté au Louvre

Moi j'ai prévu d'aller voir
- Casanova, dimanche 26 septembre
- les mondes de Watteau, vendredi 1e octobre
- la fête ou l'invention de la liberté, puis Don Giovanni, dimanche 3 octobre
- Justine ou les infortunes de la vertu, dimanche 10 octobre

Je n'ose dire 'qui m'aime me suive', mais le programme semble alléchant, n'est-ce pas?

Et toujours Dirty Diaries au Brady (là, je cherche un cavalier pour m'y accompagner et accomplir un fantasme de longue date dans une salle de ciné... :))

lundi 20 septembre 2010

Wanted !

je suis à la recherche d'un photographe et d'un attacheur, le 2 en 1 étant accepté...

  • l'attacheur est le bienvenu avec moi pour un atelier 'bondage moderne' le 8 octobre...


  • le photographe, hé bien ma foi, à voir ensemble....

dimanche 19 septembre 2010

Exhibition....

Excitante soirée, des mets et des mots qui nous montent à la tête, mon corset qui attire tes doigts, ta queue que je sais libre dans ton pantalon tente les miens...
Caresses dans cette rame de métro où nous sommes quasiment seuls...
Défi dans tes yeux : je suis incapable d'y résister, et tes boutons de pantalons non plus.....
Bouche, langue, mains....


mercredi 15 septembre 2010

Sous Influence....





Quand je regarde Sex and the City, j'ai soudainement envie de m'acheter des escarpins aux talons vertigineux et à la semelle rouge et de casual sex...







Quand je regarde True Blood, j'ai envie d'une morsure dans le cou et d'étreintes furieuses....










Quand je regarde Mad Men, j'ai envie d'hommes en
costumes et brillantine, de robes ceinturées, et d'un cigarette post coïtum dans un bureau....









Quand je regarde Swingtown, j'ai envie de robes des années 70 et de sexe, à 2, 3, ou plus....









Devrais-je arrêter de regarder des séries?


mardi 14 septembre 2010

Apologie de l'échangisme

ou ais-je mal compris le sens de cette publicité? (question à poser avec une voix de jeune vierge innocente...)



samedi 11 septembre 2010

A sa merci...

Il avait su lire entre les lignes, comprendre mes fantasmes inavoués, me faire confesser ces envies qui me nouaient le ventre, celles qui me réveillaient la nuit avec une sensation de vide à combler...
C'est si difficile d'accepter de mettre des mots sur des sensations...plus encore sur des sensations fantasmées, qu'on aimerait ressentir.... et il y a aussi ce qu'on apelle à juste raison l'épreuve de la réalité...
Ce que j'avais finalement osé lui avouer, c'était mon envie de lui livrer mon corps et mon plaisir. Me livrer pieds et poings liés, à l'aveugle : littéralement. Me détacher de mes tabous, des mes peurs, de mes limites, et n'être plus qu'un corps dédié au plaisir.
Rien qu'écrire ces mots me donne déjà le frisson...
De nombreux mails plus tard, me voilà, devant un porte d'appartement, un bandeau de soie à la main, reçu par la Poste quelques jours plus tôt. Frissonnante. De peur. D'excitation. D'anticipation....
M'armant de courage et de soie noire, je frappe les 3 coups indiqués à la porte.

Une main nerveuse mais douce m'entraine à l'intérieur, et sa voix grave et chaude m'accueille. Je pousse un soupir de soulagement : le plus dur est fait. Enfin, je le pensais...

Une coupe de champagne, confortablement installée dans un large fauteuil... Une discussion anodine, qui vire rapidemment à des sujets plus intimes. Bruit de vêtement, souffle sur ma peau, et sa bouche emprisone la mienne. Je goute ses lèvres, sa langue, douces mais impérieuses... Le temps d'une respiration, et un baillon remplace sa bouche. Quel que soit l'amplitude de mes cris, ils resteront assourdis. Me permettant de crier plus fort encore?

Je le sens tourner autour de moi, j'imagine son regard perçant sur mon corps. Il me déshabille doucement, en me commentant à voix haute ma silhouette qu'il dévoile, mon chemisier qu'il ouvrre lentement, bouton par bouton, ma jupe qu'il descend lentement le long de mes jambes, mes talons qu'il enlève doucement, flattant mon cou de pied. Sa bouche parcours longuement mon corps: mes pieds, remottant le long de mes cuisses, mes hanches, emportant dans sa course ma culotte, remottant sur mon ventre, entre mes seins, tandis que ses mains dégrafent mon soutien gorge, mordille mon cou, s'empare de mon lobe d'oreille et finit sur mon front, tandis que ses mains empoignent mes cheveux...


Il m'entraine au centre de la pièce. Ecarte mes jambes. Je sens un lien entourer chaque cheville, le bruit métallique des anneaux auxquels ils sont attachés. Sa main revenue dans mes cheveux m'entraine à genoux sur le tapis. Nue, impudique, offerte. Excitée.



 Il m'offre son sexe à goûter : joueuse, je prends mon temps pour savourer cette friandise qu'il m'offre... je souffle dessous, avant de la prendre en bouche, faisant courir le bout de ma langue de la base au bout du gland, puis l'embouchant d'un seul coup, récompensée par son soupir de contentement... Je m'applique du mieux que je peux, de la bouche, la langue, des mains... Sa main dans mes cheveux dicte finalement la fin du jeu et le début des hostilités...

Il me relève et me relève les bras de sa poigne de fer... un autre ruban de soie, un autre cliquetis de métal, et me voilà emprisonnée...


3e acte : Treize à la douzaine...

Le déclencheur : la retransmission radiophonique d'un fameux opéra (à écouter ici)
L'objectif : l'ouverture avortée d'un nouveau club,
L'organisation : 65 mails (!) :





Voici les retrouvailles de treize joyeux libertins mélomanes et complices.... tout le monde est là, à l'exception de C*, à la santé duquel nous trinquons par contumace...

Le dictionnaire des synonymes me donne, pour remplacer le mot de 'partouze', que je trouve extrêmement laid, les mots suivants : Débauche, Partie, Récréation... très appropriés, je trouve...

Des mojitos pour commencer la soirée, et délier les langues qui n'en avaient pourtant pas besoin, entrée en catimini dans une jungle sombre et pleine d'embûches
"Attention, il y a un trou", dit E*, notre guide....





Claquement des talons sur les marches en bois, mains baladeuses et baisers volés, appartement aux multiples secrets du mélomane qui nous accueille, buffet de fromages et fruits pour nous sustenter ...

Un observateur peu attentif pourrait croire à une simple réunion entre amis, complices et tendres...
Un observateur omniscient et au don d'ubiquité aurait déjà observé des caresses pas si furtives entre deux portes, des corps impatients qui se frôlent, des regards amoureux et concupiscents, des bouches qui se trouvent - enfin - après de longs échanges virtuels, un appétit que les mangues délicieuses n'ont pas éteint...



Je ne sais quelle étincelle a finalement embrasé les chairs...* d'un coup d'un seul, les pantalons sont ouverts, les sexes avidement caressés, léchés, sucés, pompés, flattés, partagés entre deux bouches féminines gourmandes, alors même que les corps ne sont pas encore dénudés...





Cette fois encore, je ne peux m'empêcher de m'émerveiller des hasards de la vie (et d'avoir une pensée pour C*, une de ces belles rencontres) qui m'ont permis de rencontrer ces gens adorables et sensuels, joueurs et désirants, respectueux et vicieux, que j'aime regarder, me sentant comme part d'un superbe tableau ou poème érotique, d'une beauté crue et saisissante, mais sans vulgarité....
Gourmande, ma bouche s'empare de la sienne, alors que celle de sa belle embouche sa queue bandée...
Vorace, je rejoins V* sur cette queue brillante et nous nous partageons celle-ci, la hampe, le gland, les couilles ont droit à nos bouches, nos langues, nos mains...



Cinq corps enlacés, imbriqués sur ce matelas, les mains qui se cherchent, les corps qui s'appellent, sa queue en moi et ses râles de plaisirs alors que mes ongles griffent ses fesses, qu'un index inquisiteur se glissent entre elles... mon corps renversé alors que nos regards se croisent dans le miroir...

Des pinces sur les tétons de deux mâles en rut, alors que trois femmes les regardent, le sourire aux lèvres et le regard scintillant...



Note de vocabulaire : Bougresse :
- b. lat. bulgarus « bulgare » , les Bulgares étant considérés comme hérétiques notamment en tant que population d'où au xe s. sont issus les célèbres Bogomiles de tendance dualiste, adversaires de la hiérarchie ecclésiastique, niant plusieurs sacrements, dont le mariage, très répandus et souvent persécutés pendant tout le Moyen Âge dans les Balkans et dans l'Empire byzantin.
- de bogre "hérétique"
- "personne qui se livre à la débauche contre nature"
Les portes du placard aux malices qui s'ouvrent, révélant des jouets au mordant de cuir : je sens sur mes jambes le souffle du martinet qui frappe ton dos, chaque coup se réverbérant au fond de moi par tes coups de reins obéissants aux claquements de langue de ta dresseuse, tes mots de désirs soufflés à mon oreille entre deux gémissements de douleur/plaisir...

Des cheveux blonds qui cachent le visage et la bouche avides, mais un mouvement de tête reconnaissable entre tous, une chemise d'homme jetés sur tes épaules, et un homme, tête baissée, sur le tabouret haut, qui regarde les aller-retours de sa queue entre tes lèvres...


Des spectateurs repus, sur le canapé, que le tableau ne laisse pas impassible, qu'une étincelle enflamme en un instant, je suis à genoux entre tes jambes et me réjouis de te sentir raidir, de voir dans tes yeux le plaisir d'une fellation tendre mais gloutonne, tes murmures de plaisir... assise dans tes bras, tes doigts habiles me caressant alors que je lutte pour garder les yeux ouverts : ne rien perdre de ce spectacle contrasté des corps blancs et bruns qui s'embrasent, elle prise en levrette, accoudée sur le mur, les mains prisonnières dans celle de son geôlier, lui embrassant ses autres lèvres jusqu'à la faire feuler de plaisir...

Pause cigarette, l'une est nue, l'autre en porte-jarretelle, moi en redresse-seins, discussions sur tout et rien, sourire aux lèvres... G* qui nous rejoint, souvenir d'autres étreintes à la fenêtre, promesse de lui offrir mon cul une prochaine fois...

Chaussée de bottes à éperons, ton dos à même le plancher, ta bouche sur le cuir qui descend jusqu'à ton sexe, la pointe de l'éperon qui taquine tes tétons, puis qui aiguillonnera tes fesses quand je te sentirai enfin en moi, non sans les avoir préalablement réchauffées de mes fessées...

Une langue de femme qui se pose sur  mon sexe, ma langue qui salive et suce la queue de son homme, je suis aux premières loges pour voir ce sexe s'emparer de sa chatte, ouvrir ses chairs pour y pénétrer profondément, puis s'engouffrer dans ma bouche avant de revenir la pénétrer, ses mains viriles qui écartent mon sexe, je me sens indécemment ouverte, mais si femme, ma bouche sur ses couilles, mes mains sur ses fesses féminines...
j'adore voir une queue pénétrer un sexe de femme... c'est tellement érotique et si beau... si excitant et si voyeur... lécher le goût d'une femme sur le sexe de son homme...
Retour en taxi, la tête pleine d'images.... nuit agitée, j'ai rarement aussi mal dormi, trop de rêves et d'envies d'encore...

Deux regrets : être partie au moment où les cordes allaient être déliées, et ne pas avoir pu associer M* à cette superbe soirée....

Une envie : vous revoir bientôt...






* on me dit dans l'oreillette qu'il s'agissait de J* et S* : à tout seigneur tout honneur, grâces leur en soit rendues d'avoir entamé les hostilités !

vendredi 10 septembre 2010

Guys with small dicks try harder....

Parfois, l'emploi du temps joue des tours... aucune dispo pendant des jours, et paf, d'un coup, 4 rendez vous en 2 jours (et je ne compte pas ce soir...)
2 connus et 2 inconnus, 2 tendres, 1 furieusement sexy et 1.... pas convaincant.... mais comment dire à un homme qu'on préfère les grosses queues ?

Guys with small dicks try harder.... but not hard enough for me....

jeudi 9 septembre 2010

Prison d'acier...

A* est bavard... très bavard... j'ai trouvé mon maitre :)
3h de discussions sur tout et rien, et surtout de sexe...
ses paroles crues, le récit de ses aventures, sa main sur ma jambe, je suis trempée et me dandine sur ma chaise...
il nous reste 45min et il ne m'a toujours pas baisé... grrr...
il me propose les toilettes, j'hésite - le trip crade n'est pas de mon gout... mais le sieur est persuasif... et j'ai envie de me faire baiser par cette queue bandée que je caresse à travers son pantalon...

tout est d'acier, le sol, les murs, les toilettes... et sa queue dans ma bouche, tandis qu'il prend mes cheveux et baise ma gorge si profondément...

chaleur, sueur, levrette, je m'assois sur lui, j'aime sa bouche sur mes seins, le silence nécessaire, le bruit de nos corps qui s'emboitent, l'ombre de sa main qui le masturbe tandis que les jambes droites, écartées, penchées en avant, j'attends en me caressant qu'il éjacule sur mes fesses.....
Un moment intense, qui me laisse un gout d'inachevé pourtant...

A suivre....

mercredi 8 septembre 2010

Venez à moi...

L'onglet "statistiques" de blogspot me permet de voir par quel biais mes lecteurs "tombent" sur mon blog...

Tous mes remerciements aux 3 blogs qui m'attirent.. et transportent les visiteurs de chez eux à chez moi
cui.burp.fr
mchapeau.blogspot.com
nevercallmebebe.hautetfort.com



et merci à google : incroyable certains des mots clefs !
certains sont classiques

revebebe / "gufti shank" : ok logique
adopteunmec pochette cadeau : logique aussi...

mais par contre...

ancien madame plaisir : euh... ancien??
blog vie de celibataire 40 ans : non, je n'ai pas 40 ans !
laisse moi voir ton sexe : je ne crois pas avoir écrit cette phrase, mais si tu me le demandes gentillement...
"me renverse sur ses genoux"+"fessée" : là, je plaide coupable, mais chapeau pour être tombé sur mon blog...
toison définition : euh.. toison? serait-ce une recherche sur Jason et la toison d'or?

lug, glug, fsug, gul, gugl, gull rouen : celui là est le grand vainqueur ! quelqu'un peut me dire dans quelle langue cela peut donner accès à mes histoires écrites en français?


voilà, un billet de feignasse, mais il pleut...
le seul intérêt de ce temps, c'est que je vais enfin pouvoir ressortir mes affaires d'hiver : c'est comme du shopping, mais gratuit !! vive les bottes en cuir, les robes en laines qui permettent de porter les superbes camisoles en soie récupérées de mes grand-mères, les jupes longues qui cachent le fait que je ne porte pas de culotte, les pulls colorés qui me permettent de détonner dans un univers de noir, gris, marron et taupe...
vive l'hiver qui approche !

[edit : nouveaux mots clefs du jour, très originaux
cul sein chatte 1

j'aime le sexe 1
queue cul 1
hum........]

lundi 6 septembre 2010

Sex games part 1

Jeu interdit au moins de 18 ans
Nombre de joueurs : 3, 2 hommes, 1 femme, de nombreuses possibilités à explorer
Durée de la partie : le temps nécessaire
Plateau de jeu : un studio passage du D*, le corps d'une femme
Accessoires du jeu : 1 dé, 1 bandeau, une corde, le mobillier d'un studio, une salle de bain, 2 fenêtres

Règles du jeu : chaque joueur tire un coup aux dés. Celui qui tire le chiffre le plus élevé remporte le droit de demander ce qu'il veut aux autres participants...

let's the game begin...

dimanche 5 septembre 2010

Quick and Dirty....

un bar, un sourire, un regard...
quelques mots sans importance, ce sont nos corps qui se parlent...
nos mains qui se cherchent, décharge électrique lorsque tu me frôles...
ta main dans la mienne, tu m'entraînes dans les rues de Paris...
plaquée contre un mur sous un porche, ta bouche prend la mienne, tes mains découvrent et recouvrent mes seins, mes fesses, mes jambes...
montée des escaliers en trébuchant, tes yeux et tes mains sur mes fesses, ton corps qui se colle contre le mien et ta bouche qui me dévore...
porte ouverte, boutons qui sautent, ceinture arrachée, porte claquée, corps qui se cherchent...
tes mains qui retiennent les miennes au dessus de ma tête, ta bouche qui goute mon cou, qui agaçe mes tétons, ton doigt qui crochète ma culotte, ta langue qui lappe ma chatte trempée, mes jambes qui tremblent de plaisir...
ton sexe bandé qui me pénètre d'un coup, tandis que ta bouche me baillonne, j'ai le goût de mon plaisir sur tes lèvres...
emportée dans tes bras, jetée sur ton lit, vorace, je me délecte de ta queue au fond de ma gorge... ta main empoigne mes cheveux, tu me baises la bouche alors que nos yeux étincellants de désir se provoquent...
au bord de la jouissance, tu me retournes et me prends en levrette, t'enfouissant d'un coup en moi...
que j'aime te sentir si profondément en moi, tes mains sur mes hanches, flattant mes fesses, empoignant mes seins, glissant un doigt inquisiteur dans mon cul...



un dernier coup de hanche et c'est l'explosion, des étoiles dans les yeux et des frissons dans tous les membres...
que j'aime lorsque tu me baises sans un mot....

vendredi 3 septembre 2010

Dans la noirceur d'une nuit blanche...

Il fait noir... ou plutôt la lumière est allumée mais je ne vois rien.
Le silence est total ... non, la musique de son choix se joue, mais moi, je n'entends rien.

Je sais qu'il est là, qu'il me regarde, assis dans un fauteuil, non loin de moi dans cette chambre d'hôtel où il m'a donné rendez-vous. Il me regarde, moi qui suis nue devant lui, les yeux bandés, un casque sur les oreilles. Je n'entends que les battements en chamade de mon coeur qui n'a jamais résonné si fort, tout mon corps les ressent.

Son souffle sur ma nuque, je tressaille. Un peu d'appréhension, beaucoup d'anticipation. Ma peau effleurée, j'expire enfin. Sa main redécouvre mon corps, doucement, lentement, très lentement, centimètre par centimètre. Nuque, épaules, colonne vertébrale, hanches.... je sens mon corps se réveiller sous cette simple touche. Visage, contour de mes seins, ventre, son autre main continue cet effleurage.

Il me prend la main et me guide sur le lit, me place à 4 pattes face à lui.
Puis... plus rien.


Les secondes me paraissent des heures...


Et soudain une main s'abat sur mes fesses. J'en sens la brûlure et en imagine le son. Une vague de chaleur m'envahit et je sens mon sexe se liquéfier.  J'attends la prochaine, mais elle ne vient pas. Je me détends légèrement et CLAC, c'est mon autre fesse qui est touchée...
Je ne sais combien de temps il joue ainsi avec mes nerfs et mon corps, mais mes cuisses sont désormais trempée de mon excitation. Je me tends vers lui en espérant qu'il cède à la tentation et finisse par, enfin, combler ce vide qu'il entretient savamment.

Mon cerveau est déconnecté, je ne suis plus que chair.

Dans le silence de mon corps, tous ses gestes résonnent et forment une mélodie qui m'emporte : une main sur ma bouche que j'embrasse avidemment, un sein taquiné qui me fait gémir, une pression sur mon bassin pour faire pointer mes fesses, une caresse furtive sur la peau si sensible de l'intérieur des cuisses qui lance mon sexe en direction de ces mains, et ENFIN, son sexe qui me pénètre d'un seul coup jusqu'aux couilles, puis s'immobilise. J'ai l'impression d'avoir hurlé mon soulagement d'être remplie tant cette sensation est divine.
Que j'aime le sentir coulisser dans mon sexe détrempé et brûlant.... Un doigt inquisiteur se glisse entre mes fesses, puis un deuxième. Sa main accroche mes cheveux, ma nuque, mon épaule et le rythme s'accélère.

Baisée totalement, je me laisse emporter, envoûter, par ces sons irréels que mon corps semble produire tout seul, les gémissements que je ne peux retenir, le claquement de nos deux corps, le balancement de mes seins, la rythmique de ses couilles, le coulissement de ses doigts, le crissement de mes cheveux dans sa main, le froissé des draps sous mes bras et mes jambes....



Il fait jour ... le soleil brille à travers les rideaux et un rayon m'aveugle.

La chambre est calme... j'entends son souffle tranquille, régulier, sur ma nuque et je retiens ma respiration pour mieux l'écouter.

jeudi 2 septembre 2010

Contre la montre....

Qui a dit que le sexe était meilleur sans contrainte ?


Non, cette fois-ci je ne parlerai pas d’attaches qui me lieraient aux quatre coins d’un lit, ni d’un collier qui me ceindrait le cou….

Non, je ne parlerai pas d’une tenue imposée, ou d’une position imposée…

Non, aucun de mes sens n’était pas contraint, ni mes yeux bandés, ni mes mains entravées, l’audition empêchée, ou la bouche bâillonnée…

Non, je ne parlerai pas d’un lieu, qui nous contraindrait à la décence ou à l’indécence, porche parisien ou club libertin, transports en commun ou siège arrière de voiture….



Non, ce dont il s’agit ici est une contrainte temporelle, une sorte de ‘contre la montre’ érotique: une demi-heure de dégustation contre une demi-heure de conversation.

Le choix semblait simple, mais il était presque cornélien pour moi.

Moi qui adore sentir sous ma langue la peau douce et chaude d’un sexe, qui fond à la lecture ou à l’écoute de mots cochons….

Moi qui adore aussi être dégustée, sentir une langue me butiner, me lutiner, me caresser, dessiner mes recoins les plus intimes, sentir un doigt s’immiscer en moi, plonger vers le plus profond de mon sexe pour compléter la caresse de cette langue… qui découvre cependant depuis peu le goût de l’écriture et l’excitation des mots…

Que décider donc ? Surtout que j’avais affaire à un gourmet habitué aux mets les plus fins ainsi qu’aux mots les plus léchés…

Joueuse, je pensais arriver à trouver mes mots et mon plaisir à la fois… mais si j’ai trouvé l’un, j’ai perdu ma langue…



Qu’aurais-je pu lui dire, en dehors de ces mots décousus qui franchissaient mes lèvres entre deux soupirs et gémissements ?

Lui dire combien je me sens belle et désirable grâce à son regard et ses caresses, combien le monde du libertinage m’apporte de confiance en moi, en plus de tout le plaisir… que ces nouvelles expériences m’apprennent petit à petit à comprendre mes désirs, et bientôt à les exprimer…

Lui raconter plus en détail ce qui me fait mouiller ou deviner ce qui le ferait bander pour moi ? Lui raconter ces expériences que je rêve de faire pour devenir une amante parfaite – geisha moderne? Mes fantasmes d’exhibition dans les rues de Paris ? Mes envies de soumission ?

Je ne sais pas (encore ?) avouer tout cela. Mon auto-pénitence : m'entrainer à écrire ici non plus seulement des histoires vécues, mais aussi de vrais fantasmes...

J’ai perdu cette course contre la montre, mais jamais la défaite ne fut si douce….

http://www.paularmandgette.com/
http://www.paperblog.fr/1296458/nu-a-la-montre/