vendredi 6 août 2010

Ode à la fesse

Lu dans Solal, Albert Cohen (Folio n° 1269, p 241)

"Comprends une fois pour toute, cher ami, qu'il me déplait de maigrir. Fesses si tu veux, mes fesses sont à moi. Et j'y tiens. Je dirai même plus, je les aime. Grâces Lui soient rendues, le Seigneur me les a concédées dodues. Dodues les garderai-je. Et, je t'en prie, ne me pince plus."



6 commentaires:

  1. très jolie paires de fesses qui ne demande qu'à rougir...Ce sont les vôtres?

    RépondreSupprimer
  2. non, non... je n'ai pas encore trouvé de photographe... et celles ci sont si belles...

    RépondreSupprimer
  3. un photographe ne doit pas être si compliqué à trouver que cela...Je suis d'accord avec vous, elles sont joliment déssinées. Mais je confirme qu'elles ne demandent qu'à rosir sourire. Qu'en pensez vous?

    RépondreSupprimer
  4. Au fait, continuez dans la tenue de ce blog, qui doit vous prendre du temps. vous savez nous emporter dans un monde de rêveries et d'érotisme. Vous m'avez réconcilié avec l'Opera, sourire...Enfin le moins mélomane d'entre nous serait immanquablement réconcilié sourire. J'ose vous donner mon mail, peut être que vous souhaiterez développer un récit épistolaire : maverick94100@hotmail.fr

    RépondreSupprimer
  5. @ baptiste : merci de vos compliments ! j'ai beaucoup hésité à ouvrir ce blog, mais j'apprécie de plus en plus l'écriture...

    RépondreSupprimer
  6. Continuez, je suis fan...J'espère pouvoir dialoguer plus directement avec vous

    RépondreSupprimer